Vous êtes les Vagues de l’Océan de Dieu
Dieu a dit:
Mon amour pour vous n'est pas un secret. Mon amour, dont on pourrait dire qu'il ne cible personne puisqu'il vise chacun, reste néanmoins concentré sur vous. Mon attention est partout et, en même temps, elle est rivée directement sur vous. Un peu comme si J'avais plusieurs yeux.
Comme vous aimeriez le savoir, savoir que Mon attention est sur vous! Comme vous lui céderiez ! Comme vous l'absorberiez! Combien Je deviendrais cher à votre cœur!
Vous êtes déjà chers à Mon cœur. Vous êtes Ma plus tendre pensée. Votre bien-être est Ma plus tendre pensée. Je vous caresse de Mes plus tendres pensées. Elles sont d'une vibration différente des vôtres. Mon cœur a des pensées de vous. Vous êtes les vagues de Mon Océan, et le courant est fort. Votre amour tient bon. Nous nous connaissons bien. Nous nous sommes rencontrés si souvent, mais votre mémoire de Notre amour s'est quelque peu effacé. Vous vous êtes endormis au milieu d'une phrase. Je vous murmurais quelque chose. Je vous murmurais Mon amour, Mon amour qui est aussi le vôtre. J'embrasse vos yeux fermés.
Vous vous réveillerez, et Je poursuivrai Ma phrase. Lorsque vous vous réveillerez, vous ne saurez même pas que vous étiez endormis. Vous rêviez que vous étiez endormis. Votre sommeil n'était qu'un rêve car une part de vous reste toujours éveillée avec Moi.
Maintenant l'amour dans Mon cœur caresse doucement l'amour dans votre cœur. Par consentement mutuel, Nous nous visitons souvent. Qu'importe que Je vienne à vous ou que vous veniez à Moi. Nous sommes ensemble. Qu'importe le lieu, car il n'y a pas d'ici ni de là ; il n'y a pas d'espace à occuper ; il n'y a pas de temps non plus.
Nous sommes toujours ensemble. Ce n'est pas seulement que Je suis présent avec vous. Vous êtes aussi présents avec Moi. En l'espace d'un clignement d'œil, vous oubliez. Vous oubliez pour un petit moment, puis vous vous souvenez. Vous vous souvenez ce que c'est que d'aimer. Vous vous souvenez comment c'est lorsque l'amour occupe toute votre attention, lorsque vous êtes réglés sur l'amour et rien que sur l'amour.
Vous vous souvenez ce que c'est que d'être Un. Vous vous souvenez ce que c'est que d'être le Néant du Tout. Vous vous souvenez d'avant votre naissance sur Terre et vous vous en souvenez parfaitement. Vous vous souvenez de la pérennité de Chaque Chose. Vous vous souvenez de lorsque votre cœur prenait son essor et ne faisait que s'élever. Les Anges dans votre cœur volaient jusqu'au Mien, même si vous étiez toujours blottis contre Moi. Combien enlacée et proche est Notre Unité même si elle semble lointaine à vos yeux. Nous sommes si proches. Nous sommes Uns.
Revenez dans votre mémoire, bien-aimés. Revenez où vous êtes. C'est ainsi que vous quittez l'accablement, en vous unissant en pleine connaissance à Moi. Nous nous aventurons ensemble. Nous traversons l'Univers, un Univers imaginé puisqu'il n'y a nul endroit à traverser. Il n'y a qu'à se souvenir de ce qui a toujours été, et rien d'autre.
Vous pouvez vous vider l'esprit de tous ces faits et de tous ces chiffres. Comment pouvez-vous, vous qui connaissez si profondément toute chose, comment pouvez-vous vous perdre dans les détails? Comment pouvez-vous vous perdre dans le service de vous-même alors que vous êtes, après tout, Moi-même? Comment l'ego peut-il encore vous leurrer et vous méconduire alors que vous êtes blottis en Dieu, libres en Dieu, aimés par Dieu?
Ce n'est que votre esprit qui dévie. Vous, vous ne pouvez pas dévier. L'Océan en son cœur est immobile et ses eaux stables se meuvent en profondeur dans Mon cœur et jamais ne vacillent. Nous sommes inébranlables. Notre amour est inébranlable. Mon amour n'est pas unilatéral. Il n'est que temporairement oublié à la surface de votre esprit.
Votre esprit est devenu tel un patineur qui glisse sur la surface glacée du monde. Il glisse alentours. Il glisse et file vers Moi désormais, et Je l'attrape pour qu'il s'abandonne à Mon cœur et au vôtre.
Traduit par: Jean_Christophe
Page originale :http://www.heavenletters.org/vous-etes-les-vagues-de-l-ocean-de-dieu-20-juillet-2011.html